Le groupe Colisée est implanté sur tout le territoire français. Pourriez-vous nous en dire plus ?
Anne-Catherine Pechinot : Colisée est un groupe européen effectivement très présent en France, puisqu’il y compte une centaine d’EHPAD, dont plusieurs possèdent des unités protégées, une dizaine de résidences services et autant de structures de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR). Cette offre globale, qui dessert l’ensemble du territoire, lui permet de s’inscrire dans une vision du bien vieillir à 360°. Cet engagement se matérialise non seulement par la refonte récente de nos statuts, mais aussi à travers la forte croissance du groupe, dont le nombre d’établissements a plus que doublé en cinq ans. Nous comptons bien poursuivre sur cette voie en développant, notamment, notre offre de résidences services.
Ces derniers mois ont été marqués par la crise sanitaire. Comment avez-vous vécu cette période ?
L’année 2020 a sans nul doute été particulière… Le groupe Colisée, qui possède deux établissements en Chine, a été très tôt confronté à l’épidémie. Il a ainsi pu rapidement acheter des masques et des équipements de protection individuels pour ses équipes. Je n’étais moi-même pas encore en poste mais, avec le recul, le groupe a clairement su assurer une bonne gestion de crise, basée sur un pilotage agile et laissant une nécessaire marge d’autonomie aux établissements. Forcément, tous ont souffert de la fatigue mais la cohésion du groupe n’en est que plus forte. Aujourd’hui, la vaccination offre une lueur d’espoir à nos établissements qui envisagent des réouvertures et de nouveaux projets.
Vous avez évoqué plus haut la modification de vos statuts. Pourquoi cette décision ?
Nous avons souhaité engager un nouvel élan, inscrit dans la continuité de tout ce qui a été mis en œuvre ces derniers mois. Depuis la mi-mars, Colisée est donc devenu une « entreprise à mission », un statut qui réconcilie performance économique et mission d’intérêt général. Colisée afficheainsi encore plus franchement son engagement pour le bien vieillir et sa volonté d’être moteur sur certains enjeux sociétaux, comme le développement durable. La vaccination nous permet à ce titre de relancer plusieurs projets, allant de la concertation locale à l’application de la méthode Montessori, en passant par une cuisine « maison », la limitation du gaspillage alimentaire ou encore la création de jardins. Toutes ces actions en faveur du bien vieillir sont certes prenantes, mais elles favorisent aussi et surtout des énergies nouvelles indispensables à cette sortie de crise.
Article publié dans le numéro de janvier d'Ehpadia à consulter ici
Anne-Catherine Pechinot : Colisée est un groupe européen effectivement très présent en France, puisqu’il y compte une centaine d’EHPAD, dont plusieurs possèdent des unités protégées, une dizaine de résidences services et autant de structures de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR). Cette offre globale, qui dessert l’ensemble du territoire, lui permet de s’inscrire dans une vision du bien vieillir à 360°. Cet engagement se matérialise non seulement par la refonte récente de nos statuts, mais aussi à travers la forte croissance du groupe, dont le nombre d’établissements a plus que doublé en cinq ans. Nous comptons bien poursuivre sur cette voie en développant, notamment, notre offre de résidences services.
Ces derniers mois ont été marqués par la crise sanitaire. Comment avez-vous vécu cette période ?
L’année 2020 a sans nul doute été particulière… Le groupe Colisée, qui possède deux établissements en Chine, a été très tôt confronté à l’épidémie. Il a ainsi pu rapidement acheter des masques et des équipements de protection individuels pour ses équipes. Je n’étais moi-même pas encore en poste mais, avec le recul, le groupe a clairement su assurer une bonne gestion de crise, basée sur un pilotage agile et laissant une nécessaire marge d’autonomie aux établissements. Forcément, tous ont souffert de la fatigue mais la cohésion du groupe n’en est que plus forte. Aujourd’hui, la vaccination offre une lueur d’espoir à nos établissements qui envisagent des réouvertures et de nouveaux projets.
Vous avez évoqué plus haut la modification de vos statuts. Pourquoi cette décision ?
Nous avons souhaité engager un nouvel élan, inscrit dans la continuité de tout ce qui a été mis en œuvre ces derniers mois. Depuis la mi-mars, Colisée est donc devenu une « entreprise à mission », un statut qui réconcilie performance économique et mission d’intérêt général. Colisée afficheainsi encore plus franchement son engagement pour le bien vieillir et sa volonté d’être moteur sur certains enjeux sociétaux, comme le développement durable. La vaccination nous permet à ce titre de relancer plusieurs projets, allant de la concertation locale à l’application de la méthode Montessori, en passant par une cuisine « maison », la limitation du gaspillage alimentaire ou encore la création de jardins. Toutes ces actions en faveur du bien vieillir sont certes prenantes, mais elles favorisent aussi et surtout des énergies nouvelles indispensables à cette sortie de crise.
Article publié dans le numéro de janvier d'Ehpadia à consulter ici